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Une vie parmi ce monde

Une vie parmi ce monde
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27 février 2008

Malgré...

Se rendre compte de la cruauté des gens

Se rappeler qu'il faut rester méfiant Malgré nos sentiments et les instants présents

Toujours se dire qu'il faut aimer vraiment

Rester vigilant aux intentions des personnes

Profitez de la vie avant que la mort ne sonne

Vivre les instants que l'on vous donne

Sans rien attendre de bons de personnes

Rester vous-même malgré les souffrances

Est la condition pour éviter l'errance

Malgré la solitude et l'ignorance

Chercher à donner à sa vie un sens

Ne pas succomber aux mauvaises tentations

Vivre pour soi en évitant la prétention

Donner à son bien être toute son attention

Pour être dans la réaliser et écarter la fiction

Prenez ce qui est bon et laisser le mauvais

Ne succombé pas à quelque un qui vous plait

Regardé l'intérieur et pas ce qui parait

Pour ne pas tomber sur un mauvais sujet.

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22 février 2008

Ainsi va la vie

Et ces larmes qui coulent sur tes joues
Comme la mer sur les rochers
Sale de ses richesses importées
Ce qu'elle a volé un jour

Les yeux mouillés par d'injustes cris
Tu sais qu'ils n'ont pas la chance
De te remercier d'être enfant,
Tu t'enfuis déçue, comme puni(e)

Ainsi va la vie
Tu l'as appris
Tu avances distrait(e) ou surprise ou sans bruit
Ne sachant que dire, qui choisir
Pour éviter le pire

Dans cette immense salle et seul(e)
Tu bâtis des forteresses
Couvrant la moindre de tes faiblesses
Cachant pourquoi tu veux rester seul(e)

Ainsi va la vie
Tu l'as appris
Tu avances distrait(e) ou surpris(e) ou sans bruit
Ne sachant que dire, qui choisir
Pour éviter le pire

18 février 2008

Vivre

Je voudrais pas crever
Avant d'avoir connu
Les chiens noirs du Mexique,
Qui dorment sans rêver,
Les singes à cul nu
Dévoreurs de tropiques,
Les araignées d'argent
Au nid truffé de bulles."
(Boris Vian)

"Je ne sais pas ce que la vie va faire de nous et j'ignore ce qu'elle est, mais je puis affirmer qu'elle nous dispersera sur des sentiers étroits. La solitude nous pèsera. Sachons faire des haltes. Laissons vivre. Nous retrouverons dans les buissons des déserteurs légers comme nous...

Je vous le répète, je ne connais pas grand chose de la vie, mais je puis affirmer que la vie commence tout à l'heure. Demain, nous aurons chacun notre destinée particulière : mon réveill-matin sonnera pour moi tout seul, et il me semble qu'un train va partir... C'est pourquoi je veux que notre rire joyeux allume une lanterne rouge au dernier wagon de notre enfance... A la vôtre!"

(Antoine Blondin, L'Europe buissonnière).

15 février 2008

CARPE DIEM

Hier est parti pour toujours...
Demain n'arrivera peut-être jamais...
Alors profitez maintenant du moment présent...

La vie, c'est saisir l'instant présent...
On a trop tendance à oublier que la vie, c'est maintenant...
La vie, c'est marcher sans savoir où on va...


La vie est comme une bougie
Qui se consumme.
Elle n'est pas éternelle,
Alors, il faut en profiter!

10 février 2008

L'ame

Âme vagabonde qui s'en va éternellement au loin
dans des contrées dont elle ne connait rien.
Elle part pour mieux parvenir à ses fins,
répondre à ces énigmes la laissant si souvent sur sa faim.

Âme solitaire qui part pour mieux se guérir,
apaiser ses douleurs, ne plus se languir
du bonheur dont elle voit les autres jouir
et enfin réussir à abolir ces peines, les enfouir.

Âme endolorie et sans cesse poursuivie
par les larmes, ces souffrances constituant sa vie.
À la recherche de la quiétude infinie,
elle garde espoir malgré tout ce qu'elle subit.

Âme fatiguée de voyager, de chercher.
Âme abandonnée de toute aide, toute liberté.
Âme souffrante et surtout désespérée.
Âme qui voit maintenant son existence se terminer.

Angel-of-darkness

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6 février 2008

Les illusions

L'illusion du bonheur, c'est croire que l'on va bien alors que tout va mal,

c'est toujours paraître radieux (se) même si l'on a plus de force,

c'est faire semblant devant les gens qu'on sourit et part derrière pleurer parce qu'on est détruit,

l'illusion du bonheur c'est finalement ne pas montrer qu'on est très malheureux (se) ...

Sur l'air du temps, se grave un chemin à l'encre d'argent, celui qui ne bouge pas avec les années qui ne se trouve jamais fragilisé par cette occidation qui pourrais faire que cette belle action recule. Mais ce n'ait pas pour autant que cette manière si pure perdure sans traitement hé bien l'amour c'est comme l'argent avec l'âge il s'enrichit mais jamais sans sacrifice .... 

5 février 2008

La souffrance

Peu de gens parlent des choses importantes ou douloureuses de la vie. C'est vrai, la plupart du temps, nous cherchons à les évacuer de notre esprit. Nous courons après des distractions diverses pour échapper aux heurts de la vie. Nous nous réfugions dans le travail, ou une passion, ou encore nous cherchons à nous détendre d'un rythme de vie toujours plus fou. Surtout, nous cherchons à ne pas penser. Comme si le fait même de penser à notre vie, à celle des autres, faisait mal. C'est qu'effectivement, à des degrés divers, nul n'échappe à la souffrance. Qui ne s'est jamais senti seul, incompris, n'a jamais eu peur de ne pas être apprécié des autres, ne s'est jamais trouvé nul ?

La souffrance commence à la naissance, dans nos propres familles : disputes, colères, attitudes injustes, divorces des parents... Elle continue à l'école, entre élèves, entre profs, entre profs et élèves. Ca peut être l'échec dans une matière, l'échec à se faire des amis... Ou encore c'est un accident, une maladie grave, un handicap, un deuil, une catastrophe naturelle... La souffrance frappe tout le monde, sans exception, n'importe quand, n'importe où.

Lorsque nous vivons un drame, une pensée nous vient parfois à l'esprit : "pourquoi moi ?". Nous avons un sentiment d'injustice. Dans un magazine, quelqu'un posait un jour une autre question : quand j'entends parler d'une souffrance quelconque dans le monde, pourquoi est-ce que je ne me dis jamais "pourquoi pas moi ?".

Mais cette réflexion est une bien piètre consolation quand nous souffrons profondément. Si nous nous posons instinctivement la question "pourquoi moi ?", c'est parce que nous avons tous en nous cette pensée: la souffrance est une erreur ! Elle ne devrait pas exister ! Le mal est une anomalie. Si encore nous étions "punis" lorsque nous faisons le mal, nous pourrions nous faire une raison et tout faire pour éviter une prochaine douleur ! Mais non.

La souffrance est aveugle et apparemment arbitraire : même si nous faisons le bien, cela ne nous met pas à l'abri d'elle ! Elle n'a apparemment pas de cause, et c'est ça qui en fait le drame. Pas de cause, donc pas de remède, pas d'échappatoire !
                   
la vie est ainsi !  

4 février 2008

Le risque

Rire, c'est risqué de paraître étourdi.
Pleurer
, c'est risqué de paraître sentimental.
Atteindre une autre personne
, c'est risqué l'intimité.
Laisser couler ses émotions
, c'est risqué d'exposer son vrai soi-même.
Parler de ses idées
, de ses rêves devant les autres, c'est risqué de les perdre.
Aimer
, c'est risqué de ne pas être aimé en retour.
Vivre
, c'est risqué de mourir.
Espérer
, c'est risqué le désespoir.
Essayer
, c'est risqué l'échec.

Cependant des risques doivent être pris,
Car le plus grand risque dans la vie,
C'est de ne rien risquer.
L'individu qui ne risque pas, ne fait rien,
N'a rien et n'est rien.
Il ne peut apprendre, sentir, changer,
Grandir, aimer, vivre.
Enchaîné par ses certitudes,
Il est esclave; il a confisqué sa liberté

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